Who you are

NOM COMPLET Loëtitia Edelweiss Lopez.AGE Tout juste âgée de 17ans DATE DE NAISSANCE 7 juillet 1995 LIEU DE NAISSANCE Glasgow, Ecosse. NATIONALITÉ Britannique. ORIGINES Espagnole et écossaise. PROFESSION Etudiante à Poudlard. ETUDES ET ECOLE 7ème année à Poudlard, dans la maison Serpentard. STATUT DU SANG ET FAMILLE Sang mêlée sans branches particulières dans son arbres généalogique. Son père est un sorcier espagnol et sa mère une simple moldue, passionnée de plante en tout genre. ORIENTATION SEXUELLE Bisexuelle. DON OU CAPACITÉ Animagus (Boa emeraude). GROUPE Teach&Learn AVATAR Kristin Kreuk

Tell me about you

Si tu devais choisir
ArgentPouvoirEntourageTravail
Plutôt dragées surprises de Bertie Crochue ou Chocogrenouilles Dragées surprises de Bertie Crochue.
Le sortilège que tu utilises le plus Reducto.
Tes jeux préférés
QuidditchEchec version sorcierLe duel de sorcier Bataille Explosive
Le prix que tu aimerais remporter
Prix du sourire le plus charmeurCoupe de QuidditchOrdre de MerlinVendeur de l'année
La relique de la mort qui t'intéresses le plus
Baguette de sureauPierre de résurectionCape d'invisibilité.
Ton patronus Aigle.
Ton épouvantard La place déserte d'un village andaloux.
Composition de ta baguette If, poil de licorne, 28cm.
La maison dans laquelle tu aurais été, ou tu as été, à Poudlard Serpentard.
Le sorcier que tu admires Sirius Black, qui malgré les préjugés a su s'épanouir.
Ce que tu penses des moldus et de leur monde Les moldus sont fascinant, j'aime leur monde calme et reposant. Et contrairement aux sorciers, qui utilisent la magie sans cesse, ils s’accommodent de leurs technologies.
Sang pur, sang mêlé, ta pensée à ce propos Nous sommes tous des sorciers. N'est-ce pas?
les créatures magiques que tu préfères, qui t'intriguent les sombrals. Ces bêtes sont si sensibles et attachantes alors que la plupart les portes en horreur.
Un objet magique que te fais envie Le miroir de Rised. Voir tout ce qui m'a échappé.
Le modèle de balai que tu possèdes, et celui que tu aurais aimé Un simple éclair de feu bis. Mais j'aurais tellement aimé avoir le nimbus 2010, tellement plus magnable!
Ton moyen de transport favori Mes pieds et quand je suis pressée... Je transplane.
Ce qu'il faut savoir sur toi Je ne pense pas comme les autres personnes de ma maison. Je suis une pièce rapporter. Mais j'ai une fierté inébranlable et un sens de la famille unique. Je ne suis pas comme tous ces sangs purs qui m'entourent. J'ai appris l'amour depuis toujours et je ne rêve que de rencontrer le mieux.

Inside yourself

On a tous de grandes qualités... attachante studieuse discrète réfléchie sympathique

...mais aussi de vilains défauts maniaque renfermée extrême colérique têtue

Tout le monde la pense chaleureuse à voir ses yeux brun et sa peau mâte. Tout le monde pense aux accueils sympathique du sud. Seulement, ce sud est entaché et la jeune femme s'est créée une carapace. Pas un sourire aux autres. Elle n'est pas hautaine pour autant. Si elle se laissait aller, elle ne serait que douceur et sympathie. Mais elle ne peut pas se le permettre. Elle s'est retrouvé dans cette maison sans vraiment le vouloir. Elle ne s'y attendait pas, mais sa détermination et son envie de vengeance ont orienté ce choix.
Plutôt bonne sur un balais, elle n'a aucun problème avec les différents postes. Seulement, le seul qui lui convienne réellement est celui de batteur. La jeune fille pourtant fluette possède une rage de vaincre sans limite et elle exprime sa colère à travers ses coups de batte inflexibles.
C'est aussi à cause de cette colère enfouie qu'elle s'avère être une bonne dueliste. Elle aime voir les gens à terre, parfois contusionner à cause de ses sorts. Elle aime voir les autres souffrir comme elle a pu souffrir. La chercher, c'est la trouver. Et surtout aimer passer des heures à l'infirmerie. Elle n'y va jamais de main morte. Alors mieux vaut ne pas lui chercher des poux dans la tête.
Cependant, quand on la connait, c'est une amie fidèle et respectueuse.

Andalousie, juillet 2006 :
"Loëtitia! Pose ce stylo et viens nous rejoindre!"
L'ordre était à peine masqué dans la voix de mon père. Je savais qu'il faisait beau en ce début de vacances et que sortir ne pourrait que me faire du bien. Je délaissais mon occupation avec un petit soupir.
A peine sortie, un choeur de voix me souhaita mon anniversaire. Je venais d'avoir onze ans, ça se fêtait. Surtout dans ce village sorcier de l'Espagne. Je souriais en allant embrasser mes parents et mon frère, de trois ans mon aînés.
Je recevais des félicitations pour mon acceptation à Poudlard. Tout le monde me voyait déjà portant les couleurs de Gryffondor ou Serdaigle. Je rendais les poignées de mains avides. La place était emplie de gens que je connaissais. Tous très bien. La fontaine éclaboussait légèrement les pavés qui l'entouraient et je souriais.
Il faisait beau. Tous mes amis étaient là, ma famille était heureuse. Tout était parfait pour ce jour unique.

Glasgow, août 2006 :
Il pleut des cordes. Le ciel est gris et laisse glisser sa peine sur nos corps fatigués. Ma mère est effondrée, ses yeux sont creux et les cernes qui les encadrent sont plus sombres que les routes du pays. Mon père à l'accent d'habitude si doux, tente de la réconforter la voix rauque. Ils ne vont pas bien. Moi non plus, mais je passe mon temps à écrire. Sur mes mains, mes bras, des feuilles volantes.
Mais pour l'instant, je n'écris rien, je regarde simplement cette grande caisse de bois qui lévite lentement à travers le cimetière. Je regarde le cercueil glisser dans le trou qu'à creuser le fossoyeur. La dalle de marbre qui la recouvre lentement puis l'inscription qui est gravée magiquement dessus :

Un fils, un frère. A jamais.
Aymeric G. Lopez

Une larme unique coule sur ma joue. Je l'essuie rageusement. Plus qu'une chose à faire : le venger.

Poudlard, septembre 2006 :
"Serpentard!"
Ce son résonne encore à mes oreilles. Personne, il y a à peine deux mois aurait imaginé cela. Et pourtant. Le visage neutre, mes yeux bruns éteints, je m'avançais vers la table de ma maison. Je n'étais pas heureuse, mais qu'importe ma répartition : ça ne changerait rien.
Je m'assis doucement, sans un mot. Personne ne m'adressa la parole. Après tout, j'étais une sang mêlés, je n'avais rien à faire ici pour tous ces enfants. Et pourtant je gardais la tête haute sous leur regards hautains. Fière quoiqu'il arrive, je ne les laisserais pas me descendre.

Poudlard, novembre 2008 :
"Tu vois pas que tu dérange sang-mêlés?"
Les joues rougies par la colère je foudroyais les Serpentards qui venaient de me parler. Plus âgés, ils se croyaient tout permis.
"Je dirais que c'est toi qui dérange."
Ma voix était acide quand je leur adressais la parole, mais voilà trois ans qu'ils m'avaient pris pour sous fiffre. Je ne me laisserais plus faire. Je posais mes livres et parchemins dans un coin et me retournais vers eux.
"Tu comptes nous faire quoi gamine?"
S'en était trop. Mon pendentif à l’effigie de ma maison se balançait lentement alors que je m'approchais dangereusement des garçons de ma maison. Ils riaient les bougres. Ils allaient comprendre pourquoi tout le monde m'évitait.
J'en attrapais un par le collet et le plaquais au mur. Un autre voulu me lancer un sort mais il fut rapidement saucissonner. Pas d'autres assauts. Je souris, narquoise.
"Se faire mettre au tapis par plus jeune que vous. Déplorable."
Je renouais mes cheveux et récupérais mes affaires en souriant largement. Je partis vers les cachots : il n'était pas bon être en retard en potion.

Poudlard, février 2010 :
Comme toujours pour les vacances, je ne rentrais pas à la maison. Le désespoir qui régnait me déprimais plus qu'autre chose. Au lieu de ça, j'allais dans les fin fonds du château, m'entraîner.
J'avais écouté les cours de métamorphoses avec une attention toute particulière dernièrement. Et voir ma peau se recouvrir d'écailles vertes fut la plus belle des récompense.
On ne me cherchais plus de noises. On avait compris que c'était mauvais. Lorsque je marchais dans les couloirs, la jeune fille que j'étais voyait la foule s'écarter devant elle.
J'avais décidé de postuler dans l'équipe de Quidditch également. Tenir une batte entre mes doigts fins me permettait de canaliser au mieux mon énergie et ma colère. Ainsi que les ateliers de Duels auxquels je me rendais volontiers dès que j'en avais l'occasion.

Aujourd'hui : Voilà comment je suis devenue la jeune fille d'aujourd'hui cher parchemin volant que je perdrais sûrement comme tous les autres. Voilà qui est la fille qui se balade les mains couvertes d'écritures et la tête haute.
Voilà qui est Loëtitia Lopez.